Vêtement conçu initialement pour être porté durant le vernissage de l’exposition personnelle (､ﾝ､) à Dürst Britt & Mayhew, La Haye (NL), le 02.09.22.
Après le vernissage, le vêtement a été laissé dans l’espace comme il l’aurait été dans une chambre.

Sculptures réalisées à partir de la bibliothèque de l’artiste.

Ces ensembles offrent de nouvelles façons d’exposer des travaux réalisés antérieurement.
En combinant des sculptures et des dessins individuels, ces ensembles fournissent de nouvelles narrations et significations. Cela permet d’explorer de nouveaux aspects des œuvres réalisées dans le passé et destinées à l’origine, à être exposées d’une manière différente.

Sculpture des carnets de note de l’artiste.

Sculpture d’un tabouret “FROSTA” fabriqué par IKEA et modifié afin ressembler à son original, le “Stool 60” d’Alvar Aalto. Il en résulte un mélange entre l’original et la copie.

Sculptures de cartels désignant des œuvres d’art où un ou plusieurs sujets sont endormis.

Sculpture en papier utilisant les techniques du washi et suggérant diverses positions issues du repos et de siestes.

Commande de copie d’une ‘date painting’ d’On Kawara.

Différentes formes de feuilles mortes trouvées à proximité des espaces d’exposition sont dispersées à l’intérieur.

Une fausse peinture d’On Kawara est caché dans le stockage de la galerie.

Un raidisseur est appliqué sur la toile pour obtenir une forme solide, intégrant des parties du support sur lequel elle repose.

Ces peintures sont un hommage aux rues de Bruxelles, aux ateliers d’artistes, aux appartements d’amis, aux fêtes, aux vernissages d’expositions dans les galeries et les espaces autogérés, et à cet objet commun et familier qui rassemble les gens et l’amitié.

Mêlant dessin et sculpture, ces œuvres reproduisent des objets glanés, mettant en scène des moments notables de la vie quotidienne de l’artiste.

Film basé sur des sous-titres dans lequel deux personnages discutent de la vie avec nonchalance. Leur discussion fait écho au contexte, à l’environnement et aux détails qui entourent le spectateur.

Coucher de soleil numérique basé sur un gradient personnalisé. La projection montre un enregistrement de l’écran de l’ordinateur et le défilement dans le fichier, simulant l’effet d’un coucher de soleil. Cette projection éclaire et colore la salle tout en plongeant progressivement ses visiteurs dans l’obscurité.

Représentations de situations presque imperceptibles observées lors de visites d’espaces d’exposition. Ces formes éclairent sur les activités et les histoires qui circulent en ces lieux.

Corpus d’œuvres à base de caractères faisant référence à des cartels d’exposition.
Par l’utilisation de la tautologie et une conception “casse-tête”, la description devient l’œuvre d’art elle-même.

Ensemble de petites sculptures répliquant des éléments rencontrés dans des espaces d’exposition.

Photographies d’exposition provenant d’Internet dans lesquelles les œuvres d’art ont été effacées numériquement. Elles montrent alors les détails et caractéristiques singulières d’espaces d’exposition institutionnels à travers le monde.
Cela renvoie et actualise le geste initial d’Yves Klein à la galerie Iris Clert en 1958, et les différentes expositions du vide qui ont suivi.